Grosses caisses et gros coeurs
Sur la place du village fantôme où je suis hébergé, une sono diffuse bruyamment dès 11 heures le matin de la musique électronique. Un couple local de clubbers en combinaison de ski fluo se déhanche frénétiquement en cadence pendant des heures. Sans jamais mollir, la mine extatique, le bras levé...